Marianne de Tolentino
ADCA /AICA
Directrice du musée des Beaux Arts de Saint-Domingue
( République Dominicaine )
Marianne de Tolentino
ADCA /AICA
Directrice du musée des Beaux Arts de Saint-Domingue
( République Dominicaine )
Marianne de Tolentino
ADCA /AICA
Directrice du musée des Beaux Arts de Saint-Domingue
( République Dominicaine )
Palimpseste de la mémoire !
Celle qui est construite avec des mots parcheminés au souffle des filiations propitiatoires, celle de la conscience des liens indestructibles entre ce qui fut et ce qui devra être, celle de l'engagement aussi pour porter témoignage de la reconnaissance.
Tout au long de ces années, j’ai été attentif à rechercher dans chacun des pays dans lesquels j’ai vécu les objets du commun les plus emblématiques et qui pourraient traduire une identité propre et naturelle.
Ainsi, à Trinidad &Tobago, ce furent les planches à laver, au Nigéria, les planches coraniques, en Jordanie, les billots de bois utilisés dans les constructions, fort nombreuses.
En république dominicaine où l’artisanat témoigne de sa puissance grâce à son héritage historique, la visite des marchés apportèrent l’évidence avec les cuvettes toutes simples que sont les bateyas »!
Il s’agissait alors de me les approprier pour leur apporter un rendu signifiant afin que le regard s’attarde !
Alors, avec le doute de celui qui marche depuis longtemps loin de ses racines, il a fallu inventer un langage qui soit compréhensible par tous, avec des poèmes extirpés du feu vif de la roue du temps, au fil de mes joies ou encore tout au cœur des crises complexes que révélaient les chemins de traverse pour au final, que les mots traversent le temps.
La matière est prétexte, ce qui l’est moins, c’est la gravure au feu pour marquer les mots dans la cendre, pour qu’ils grésillent des passions disparues.
Alain AUMIS
2015
Palimpseste de la mémoire !
Celle qui est construite avec des mots parcheminés au souffle des filiations propitiatoires, celle de la conscience des liens indestructibles entre ce qui fut et ce qui devra être, celle de l'engagement aussi pour porter témoignage de la reconnaissance.
Tout au long de ces années, j’ai été attentif à rechercher dans chacun des pays dans lesquels j’ai vécu les objets du commun les plus emblématiques et qui pourraient traduire une identité propre et naturelle.
Ainsi, à Trinidad &Tobago, ce furent les planches à laver, au Nigéria, les planches coraniques, en Jordanie, les billots de bois utilisés dans les constructions, fort nombreuses.
En république dominicaine où l’artisanat témoigne de sa puissance grâce à son héritage historique, la visite des marchés apportèrent l’évidence avec les cuvettes toutes simples que sont les bateyas »!
Il s’agissait alors de me les approprier pour leur apporter un rendu signifiant afin que le regard s’attarde !
Alors, avec le doute de celui qui marche depuis longtemps loin de ses racines, il a fallu inventer un langage qui soit compréhensible par tous, avec des poèmes extirpés du feu vif de la roue du temps, au fil de mes joies ou encore tout au cœur des crises complexes que révélaient les chemins de traverse pour au final, que les mots traversent le temps.
La matière est prétexte, ce qui l’est moins, c’est la gravure au feu pour marquer les mots dans la cendre, pour qu’ils grésillent des passions disparues.
Alain AUMIS
2015
Palimpseste de la mémoire !
Celle qui est construite avec des mots parcheminés au souffle des filiations propitiatoires, celle de la conscience des liens indestructibles entre ce qui fut et ce qui devra être, celle de l'engagement aussi pour porter témoignage de la reconnaissance.
Tout au long de ces années, j’ai été attentif à rechercher dans chacun des pays dans lesquels j’ai vécu les objets du commun les plus emblématiques et qui pourraient traduire une identité propre et naturelle.
Ainsi, à Trinidad &Tobago, ce furent les planches à laver, au Nigéria, les planches coraniques, en Jordanie, les billots de bois utilisés dans les constructions, fort nombreuses.
En république dominicaine où l’artisanat témoigne de sa puissance grâce à son héritage historique, la visite des marchés apportèrent l’évidence avec les cuvettes toutes simples que sont les bateyas »!
Il s’agissait alors de me les approprier pour leur apporter un rendu signifiant afin que le regard s’attarde !
Alors, avec le doute de celui qui marche depuis longtemps loin de ses racines, il a fallu inventer un langage qui soit compréhensible par tous, avec des poèmes extirpés du feu vif de la roue du temps, au fil de mes joies ou encore tout au cœur des crises complexes que révélaient les chemins de traverse pour au final, que les mots traversent le temps.
La matière est prétexte, ce qui l’est moins, c’est la gravure au feu pour marquer les mots dans la cendre, pour qu’ils grésillent des passions disparues.
Alain AUMIS
2015
Palimpseste de la mémoire !
Celle qui est construite avec des mots parcheminés au souffle des filiations propitiatoires, celle de la conscience des liens indestructibles entre ce qui fut et ce qui devra être, celle de l'engagement aussi pour porter témoignage de la reconnaissance.
Tout au long de ces années, j’ai été attentif à rechercher dans chacun des pays dans lesquels j’ai vécu les objets du commun les plus emblématiques et qui pourraient traduire une identité propre et naturelle.
Ainsi, à Trinidad &Tobago, ce furent les planches à laver, au Nigéria, les planches coraniques, en Jordanie, les billots de bois utilisés dans les constructions, fort nombreuses.
En république dominicaine où l’artisanat témoigne de sa puissance grâce à son héritage historique, la visite des marchés apportèrent l’évidence avec les cuvettes toutes simples que sont les bateyas »!
Il s’agissait alors de me les approprier pour leur apporter un rendu signifiant afin que le regard s’attarde !
Alors, avec le doute de celui qui marche depuis longtemps loin de ses racines, il a fallu inventer un langage qui soit compréhensible par tous, avec des poèmes extirpés du feu vif de la roue du temps, au fil de mes joies ou encore tout au cœur des crises complexes que révélaient les chemins de traverse pour au final, que les mots traversent le temps.
La matière est prétexte, ce qui l’est moins, c’est la gravure au feu pour marquer les mots dans la cendre, pour qu’ils grésillent des passions disparues.
Alain AUMIS
2015
Artiste Plasticien
Officier de l’Ordre National du Nigeria,
Chevalier de l’Ordre National du Mérite.
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